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Le Tourisme Opportunités

Loin d’être inhospitalière, les sites géologiques uniques au monde ont toujours attirés, les scientifiques ou les aventuriers à la recherche d’un monde inhabituel et dépaysant. D’octobre à avril, le climat y est des plus agréables, comparable à un état méditerranéen, tandis que la saison chaude de mai à septembre connaît une température moyenne de 35°C.

La République de Djibouti dispose d’un important potentiel dans le domaine du tourisme, avec des sites exceptionnels, des fonds sous-marins et des plages de toutes beautés. La durée moyenne de séjour d’un touriste est de dix jours, les principales activités des touristes sont la plongée sous-marine, la pêche sportive, le trekking et la randonnée, la découverte du monde nomade, l’observation ornithologique, et bien évidemment la plage et le soleil.

Portion de lune sur l’écorce terrestre, paysage apocalyptique, paradis géologique, splendeur des sites sous-marins.

Des Atouts de Taille

Selon la nature changeante de son paysage, Djibouti a été décrit comme une portion de lune sur la croûte terrestre, comme un paysage apocalyptique et comme un paradis géologique doté d’une splendeur de sites sous-marins. Loin d’être inhospitaliers, les sites géologiques uniques de Djibouti ont toujours attiré les scientifiques et les aventuriers à la recherche de lieux insolites et exotiques. D’octobre à avril, le climat est plus agréable et peut être qualifié de méditerranéen, tandis que de mai à septembre, le climat est relativement chaud, avec une température moyenne de 35°C.

Djibouti dispose d’un grand potentiel touristique, avec des sites uniques et des plages de sable. Le séjour moyen des touristes est d’une dizaine de jours, et les principales activités touristiques sont : la plongée, la pêche sportive, le trekking, la randonnée, l’exploration du monde nomade, l’observation ornithologique, et bien sûr, la plage et le soleil.

Seuls 5 % des touristes viennent d’Asie, principalement du Japon. Les touristes des pays de la région représentent 60 % de l’ensemble des arrivées. L’Amérique du Nord est une source de nouvelles arrivées avec des touristes canadiens et américains. Le comptage des entreprises desservant régulièrement le pays est un atout supplémentaire.

Une grande variété d’attractions peut répondre aux intérêts des visiteurs. Il s’agit notamment d’un littoral de 370 km, du détroit de Ras Siyan, considéré comme une merveille du monde en termes de plongée, d’une multitude d’Arta, de la réserve naturelle de Day Forest, de montagnes idéales pour la randonnée, de certains des déserts les plus arides du monde tels que le Grand et le Petit Barra Barra, et du lac Assal avec ses incomparables gisements de sel, qui attirent tous des visiteurs du monde entier.

Le pays est doté d’une beauté naturelle à l’intérieur des terres et en mer. Le bouche à oreille de la communauté internationale présente à Djibouti a fait de ce pays un paradis pour un nombre croissant de touristes. Malgré les vastes possibilités de découverte, de nombreux secteurs sont encore inexploités.

  • Plongée et explorations marines : situé à l’intersection de la mer Rouge et de l’océan Indien, l’un des endroits les plus fascinants au monde pour la plongée sous-marine.
  • Construction d’hôtels, de bungalows et de villas touristiques dans des zones touristiques clés telles que l’île de Maskali, l’île de Moucha, le parc national de Day Forest, le lac Abbe, Goubet, le lac Assal et Randa.
  • Aménagement de parcs, de marinas et de centres de divertissement pour les touristes et la population locale.

  • La région d’Arta

Cette région propose une large gamme d’activités touristiques possibles: randonnées pédestres, baignades (y compris avec l’observation des requins baleines), pêches, chasse de palourdes, planche à voile, ski nautique, tennis, natation, équitation, terrain de golfe etc. L’activité touristique internationale est aujourd’hui marginale, pourtant la région et tout particulièrement la localité d’Arta ville dispose de trois atouts majeurs à savoir un climat frais, des résidences de haut standing et une plage pouvant servir de baignade, de plongée sous marine et de lieu d’observation des requins baleines. Il n’y existe que deux campements à disposition des visiteurs internationaux. Il sera probablement possible de séjourner au centre d’estivage d’Arta dans un futur proche.

Les sites touristiques majeurs sont:

  • L’aire naturelle terrestre de Djalelo située à 40Km de la capitale.
  • Le refuge Decan
  • Le désert du petit Bara
  • Les plages d’Arta
  • Le canyon de Dimbiya Adaïle

Image Canyon de Dimbiya Adaïle

  • La région d’Ali-Sabieh

Une proportion importante du territoire d’Ali Sabieh offre des espaces encore sauvages. Parmi les espaces et sites touristiques, le principal site touristique de la région d’Ali Sabieh est le Grand Bara, surface de sable plate, de 30 km de long et de 10 km de large où se pratiquait le char à voile. Certaines zones et certains sites ont le potentiel requis pour être aménagés pour le tourisme domestique, régional et international, telle celles d’Assamo (aire protégée et habitat naturel de l’antilope Beira) et Arrey.La région d’Ali Sabieh attire un nombre croissant de touristes mais les flux sont encore peu importants. La clientèle djiboutienne est bien supérieure à la clientèle étrangère. Un village de la région produit de l’artisanat et des cultures maraîchères (Assamo). Aucune statistique de fréquentation n’est enregistrée à la préfecture. Ali Sabieh a deux hôtels et une auberge (octobre 2017). Un promoteur a un projet pour un futur hôtel (en cours de construction) mais il rencontre des difficultés de financement. Il existe un nouvel hébergement touristique à Assamo à l’entrée de l’aire protégée. Ce campement est géré par la même association que l’aire protégée de Djalelo dans la région d’Arta.

Image désert du Grand Barra et plages d’Arta

  • La région de Dikhil

Le Lac Abbeh constitue le site touristique naturel majeur de la région de Dikhil : Son paysage culturel, ses monuments naturels et son écosystème, témoigne des grands stades de l’histoire de la terre et des hommes. Le lac Abbeh représente également une faune exceptionnelle. De nombreuses espèces d’oiseaux y sont répertoriées. Les plus emblématiques sont le grand flamant ou flamant rose Phoenicopterusruber et le petit flamant Phoenicopterusminor.

Le lac Abbeh est également marqué par son paysage culturel. En effet, les peuples et les animaux qui vivaient avec ce lac, il y a des millénaires, ont laissé des traces et informations importantes découvertes dans des sites archéologiques, notamment, le site d’Asa Koma et celui de Barogali. La région abrite également d’autres sites majeurs comme celui des gravures rupestres de Garabayis et le site archéologique d’Handoga (3000 ans avant JC), moins visités, et laissés sans surveillance.

Image Lac Abbeh

  • La région de Tadjourah

La région de Tadjourah comprend de nombreux sites touristiques majeurs maritimes et terrestres (voir carte ci-dessous) parmi lesquels:

  • Le lac Assal et son patrimoine immatériel (caravanes de sel): Le lac Assal est le lac le plus salé du monde et le point le plus bas du continent africain – 153m en dessous du niveau de la mer – un paysage apocalyptique avec une mer de sel à perte de vue et le contraste du sel blanc et de la lave noire des volcans alentours. Le climat est aride et c’est l’un des endroits les plus chauds de la planète. Il peut faire plus de 55 °C. Il ne pleut que trèsr arement. Le sel du lac Assal fait l’objet d’un commerce traditionnel réalisé par les bédouins du désert.

Image Lac Assal

  • Le Goubet Al-Kharab, le Volcan l’Ardoukoba et le site de Fialé: Le Goubet Al-Kharab est une anse magnifique et inquiétante dominée par l’île du Diable, un dôme impressionnant qui a jailli au milieu de la baie lors des mouvements tectoniques liés à la formation du Rift d’Assal. Accessible par la route qui le domine ou en bateau, on y trouve l’un des deux lieux au monde ou l’on peut observer en extérieur une faille entre deux plaques tectoniques (africaine et arabique) ;

Image Le Goubet et la Faille

Le faible niveau des revenus mensuels moyens des artisans (16,970 DJF) et le ratio des clientèles et des revenus pour les artisans interrogés (ci-dessus) reflète justement le faible intérêt des visiteurs internationaux mais aussi des résidents étrangers pour les productions artisanales locales. Sur cette base, les revenus du tourisme avoisineraient les 110 millions de Francs Djiboutiens soit moins de 1% des dépenses touristiques. Cela situe Djibouti bien en-dessous des moyennes internationales.

Success Story

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